La semaine dernière, à l’Assemblée Nationale,  le 1er Ministre a déclaré la guerre à la malbouffe en fixant l’objectif : « diminuer de 15% l’obésité des adultes et de 20% celle des enfants d’ici 2023 ».

On applaudit des deux mains, car en France, la surconsommation de sel, de sucre, et de mauvais gras est responsable de l’ « épidémie » de diabète sucré et de 30% des cancers.

Il y a 9 mois déjà, une commission d’enquête parlementaire préconisait de « limiter règlementairement » la teneur en sel, en sucres et en acides gras saturés des aliments transformés. Il prévoyait aussi de ramener d’ici à 2025 à 48 le nombre des additifs utilisés dans les plats cuisinés contre 338 autorisés aujourd’hui.

Le combat pour mieux connaître la qualité nutritionnelle des aliments avec le fameux code couleur Nutriscore va-t-elle s’engager comme nos santés et nos mieux-être en ont tant besoin ?